miércoles, 18 de abril de 2007

EL ESPEJO



La última perla de la Comunidad de Madrid, tan pizpiretamente gobernada por Esperanza Aguirre, es un anuncio que se repite en la televisión local. Bajo el lema “Espejo de lo que somos” suena un tema de Lou Reed: “I’ll be your mirror”. En pantalla aparecen distintos paniaguados del P.P. portando un espejo y poniendo cara de circunstancias.

Hace poco utilicé esa misma canción para “ilustrar” un programa de radio dedicado a las neuronas espejo. Estas células son las responsables de nuestra capacidad de aprender, en un sentido amplio de la palabra. Funcionan como auténticos replicantes de los impulsos que nos llegan del exterior. Un ejemplo: son las responsables de que se nos peguen los bostezos, o de la risa contagiosa, sin ir más lejos. Pero vayamos más lejos. Las neuronas espejo son las que nos permiten aprender a hablar, interpretar los gestos de otra persona, compartir experiencias ajenas, entender lo que le pasa a alguien, sufrir con el dolor ajeno o alegrarnos de la felicidad de otros. Son las células de la empatía. Todos los animales tienen estas neuronas, pero nosotros nos llevamos la palma. Sin nuestra enorme carga de células espejo, los humanos no podríamos tener una vida social compleja, no habríamos desarrollado sofisticados métodos de comunicación, no existirían ni la cultura ni el arte. Peor aún, no existirían ni el amor ni la amistad.

Las neuronas espejo nos ponen en el lugar del otro, nos permiten sentir en común, y cuando el espejo se empaña... mala cosa, porque estamos ante un egoísta crónico en el mejor de los casos; ante autista o frente a un asesino, en el peor. Y si el espejo se torna opaco, nos volvemos locos. A menos, claro, que un amigo nos eche una mano, como canta Lou Reed en esa canción: “Seré tu espejo / Reflejaré lo que eres / en caso de que no lo sepas”.

La empatía, sin embargo, no es patrimonio de la derecha, sino todo lo contrario. El fondo moral de la ideología de derechas no incluye la preocupación por los demás, sino el sálvese quien pueda, la ley del más fuerte, el “darwinismo social” del que son tan afectos. Que ahora los lobos quieran disfrazarse de corderos no deja de ser la última maniobra bufa de la derecha a la española. Si es verdad aquello de que la cara es el espejo del alma, en su caso el espejo debe reflejar unas caras de hormigón armado.

9 comentarios:

Anónimo dijo...

-¡Espe no sabe sumar!¡Que le corten la cabeza!- dijo la Reina Roja.

Anónimo dijo...

El personal está haciendo una partición creativa del lema de la campaña:

"Espe jode lo que somos"

Chano

La Caverna de Rictus dijo...

Desde luego, a mi me jode que use esa canción. Espe, por tanto, cumple lo que promete, la muy jodía.

Anónimo dijo...

Precisamente el otro día me contaba exactamente esto mismo un amigo mientras comíamos. ;-)

La Caverna de Rictus dijo...

Creo que conozco a tu amigo, un tipo que se repite como el ajo...

TRANSIDO dijo...

Esta acepción del ajo puede dar para mucho, es otra de nuestras características idenditarias más "originales".

A diferencia de otros pueblos, que imitan para aprender, aquí nos repetimos(como el ajo)para continuar igual.

¡Ojo, no por mimetismo!. No es nuestro fuerte tampoco, sino quizá por incapacidad.

Anónimo dijo...

There are spices and vegetables that you can grow
Some are under the ground, some grow tall
Though they all have their qualities, this you should know
That the garlic is best of them all

The Egyptians, Phoenicians, the Vikings and Greeks
Babylonians, Danes, and Chinese
On their voyages took enough garlic for weeks
And their enemies died on the breeze

From Biblical times in all parts of the earth
It has cured countless sufferings and ills
If we understood what the garlic is worth
We would throw out our poisons and pills

In Bulgaria's mountains and Russia's wide plains
People live to a hundred years old
For it's juice of the garlic that runs in their veins
Oh it's worth twice it's weight in pure gold

With its selenium, germanium, allicin too
It can fight off all types of disease
So if you've got arthritis, TB, or the flu
Just say, "Peel me a garlic clove, please!"

Plant some cloves in your garden to keep away worms
And the other bad things that kill plants
If you're one of those people concerned about germs
You could drop one or two in your pants

(Repeat first verse)

Anónimo dijo...

L'ail commun ou cultivé vient, selon quelques sources, de Sicile, mais des auteurs spécialistes nous disent que son origine est le désert des Kirguises, République de la Kirghizie (3000 années a.C.). d'anciens panneaux trouvés dans la bibliothèque d'Asurbanipal, roi d'Asiria l'année 650 a.C., nous ils montrent que les médecins étaient déjà familiarisés avec les propriétés curatives de l'ail, outre d'autres plantes (coquelicot, belladona, beleño, mandrágora, chanvre, oignon et safran). Le jardin de Merodach-Baladam, II roi de Babilonia (710 années a.C.), grandissaient ails, oignons et safran. Son nom selon quelques auteurs vient du mot grec "aglidion", qui signifie aussi éviter ou s'enfuir, puisqu'aux Grecs les repugnaba par son fort parfum. Ils appelaient "aglis" à la dent d'ail et "aglithes" à la tête d'ail. Mais le ils appelaient de nom la "rose hedionda" (bromadorom). La porte du temple ne pouvait pas être traversée par lesquelles ils venaient de le manger et pouvaient apestar. Dans les Jeux Olympiques les athlètes mangeaient traditionnellement une dent d'ail avant de commencer à concurrencer. La croyance qu'il leur donnait force et colère était très enracinée. Le botaniste français Pyramus de la Candolle, auteur du livre "Origine des Espèces Cultivées" (1883), nous dit que l'ail était originaire du sud de l'Asie, où il existe plusieurs espèces sauvages, et que son nom vient du celta "à le" ou il est le caústici, d'où il est passé au latin, puisque les Romains étaient appelés "par allium" l'ail cultivé et l'"alum" ce qui est sylvatique. En Inde l'ail, appelé "rasón" dans sánscrito, est considérée comme plante régénérateur qui augmente la vigueur, selon l'ancien traité médical "Kasyapa Sanchita". On sait aussi que ce qui est anciens égyptiens donnaient chaque jour aux constructeurs de pyramides, avec un oignon, une dent d'ail, et l'ont apprécié jusqu'au point de l'élever à rang de divinité (2400 années a.C.). à cette époque étaient aussi faits des colliers pour les enfants, pour les protéger de de tant par parasite comme il avait avec la rivière Nilo, et on utilisait aussi la plante pour découvrir la fécondité des femmes, c'est-à-dire ses jours fertiles, puisqu'il était primordial d'essayer d'avoir nombreuse prole. Hipócrates, recommandait à une femme de veuille savoir s'il était fertile, qu'on introduirait un ail dans le vagin ; si au jour suivant l'il sentait la bouche, il est qu'il pouvait avoir des fils. Les hébreux l'ont utilisé dans une grande échelle dans leurs repas, parce qu'ils aient probablement appris leur culture et vertus en Egypte, avant exode, et cite à la plante plusieurs fois "la Bible sacrée", selon le quatrième livre de Moisés, appelé des Nombres. Le médecin grec Claudio Doux (150 années d.C.) était appelé par celle "triaca des paysans", ce qu'était un grand honneur, puisque ce qui est triaca, un brebaje inventé par le Toubib lui-même, avait de la renommée de vaincre de nombreuses maladies. Lui composaient plus de 50 par ingrédients, des trois royaumes, animal, végétal et minéral, et il n'étaient pas à la portée de tout le monde ; toutefois aux paysans, toujours il restait l'ail. Le médecin grec Pedáneo Dioscórides d'Anazarbe (Sicile), auteur du livre "Peyatrikes" (siècle I), nous dit que l'ail est curatif de de ce qui est isolée, piojos et tracasses, ainsi que qu'il sert à éviter la chute des cheveux. Il nous dit aussi qui est diurético, tonique, antidote contre les poisons, remède de l'asthme, ictère, douleur de molaires et utile pour traiter des éruptions cutanées. Un certain auteur indique que les Romains ont été abandonnés aux employés de la cinquième (maison) et aux soldats, mais, ce pourquoi ils ont écrit les naturalistes de l'époque, nous ne croyons pas il est ainsi, et nous le démontrerons. Avant l'Empire, les Romains faisaient le "jentaculum" (déjeuner), qui était composé généralement d'un morceau de pain frotté avec ail et un verre d'eau fraîche. Lui on a ensuite appelé "silatum" et a consisté seulement un verre d'eau. La raison était de combattre l'excès de poids et de résister aux dîners copieux, faits avec le compagnon ("parasitum"). L'auteur juin Lumineux romain Moderato Columela, auteur du livre "de Cultu Horturum" (siècle I a.C.), nous dit comment nous devons cultiver l'ail, comme il est gardé et il mange, et il nous dit aussi ses propriétés médicinales. L'auteur romain Marcus Terencias Varrón, qui a publié le traité "de Paysan", dans le premier de ses livres, cite la culture de l'ail et ses applications. Varrón a eu l'honneur d'organiser sous le mandat de Cesser Auguste la première "Bibliothèque Publique" de Rome (50 années a.C.). Pallas, favori de l'Empereur Claudio (60 années d.C.), a été défenseur énergique la culture et la consommation de l'ail. À l'empereur romain Nerón on attribue l'invention de l'"alioli", qui elle croyait qu'était un puissant aphrodisiaque et qui l'enchantait le manger avec agneau rôti. D'autres auteurs croient que cette invention vient des Byzantins, que lui ils appelaient "par Skorodaton". On croit qu'ont appris à le faire de d'eux par les croisés de Ramón de Toulouse et qu'à leur retour de Terre Sainte ils ont enseigné à l'utiliser aux Espagnols, en enracinant fortement en Catalogne (siècle XI). Ce qui est anciens atenienses, cependant, avaient leur "skorothalmi", condiment fait avec ail écrasé et huile d'olive, et qui a donné lieu à à celle "skorthalia" moderne utilisée dans la cuisine grecque avec des légumes fritas et poisson (mais il n'était pas alioli). Romain le Sererius sage Sanimoriens, a chanté les excellences de l'ail en vers, oeuvre de talent incomparable et beauté. Jusqu'à présent nous nous avons renvoyées à celui appelé par l'Allium botaniques sativum ou ail cultivé, mais les Romains connaissaient en outre d'autres ails, qu'ils cultivaient dans leurs jardins et qu'ils avaient connus d'autres peuples. La mythologie grecque inclut, dans la victime voyage d'Ulises, roi d'Itaca, sa rencontre avec la Circe magicienne, qu'il transformait aux hommes des porcs. Mais Hermes lui avait livré une plante approfondie noire et une fleur blanche parfumée, que seulement les Dieux pouvaient reconnaître et choisir, avec laquelle a évité Ulises ce qui est hechizos et enchantements de de ce qui est magicienne. Le Teophrasto grec sage, auteur du livre "Histoire des Plantes" (siècle III a.C.), nous dit que cet "ail moly" ou magique se trouve dans les montagnes Cilena et de Feneo. Celui Hippócrates grec sage et médical (siècle IV a.C.) indique que les ails sont souffrants et qu'il ne faut pas abuser de d'eux parce qu'ils peuvent produire des dommages à la vue. Indépendamment de déjà commenté ce qu'il recommandait pour savoir la fertilité des femmes. En outre, les Romains consommaient l'Allium appelé victorialis, ail sylvatique des Apeninos et les Alpes, qu'on donnait au soldat romain de la légion, journal, avec la conviction que la force que celui-ci lui fournissait la rendrait invincible. Ils connaissaient aussi l'Allium ursinum ou ail des ours, à la suite par ses tu courrais par le centre et le nord de l'Europe. Par conséquent, on savait que l'ail croissait spontanément par Sicile, l'Egypte, l'Algérie et l'Espagne, et il y a des auteurs qui jugent que l'Allium ampeloprasum, ou ajo-porro de vigne, est le prédécesseur sauvage de l'ail cultivé ou de Sicile, appelée par l'Allium botaniques sativum, à auquel dans beaucoup de pays lui on appelle "ail d'Est". Dans l'Âge Moyen on continue à cultiver l'ail, et en faisant l'éloge de ses vertus et effets, comme lui fait Sainte Hildegarda, abbesse, auteur du "Livre des Remèdes" (siècle XII), et le fait aussi San Alberto Magno, parce qu'on croyait que c'était un remède excellent contre la peste. Sans embargo, les musulmans qui ont fait face les croisés on a effrayé plus par leur fort parfum à ail qui par ses armatures aciérées brillantes. Le botaniste espagnol Maximal Lacune, médecin du juillet pontífice III, et auteur du livre "Commentaires au Dioscorides" (1555), parle avec profusion des vertus médicinales de cette plante. Beaucoup d'années avant, l'empereur Carlomagno, dans ses tenez "Edictos" ou "Capitulares", recommande la culture de l'ail, en commençant par le mettre dans son jardin d'Aix-en-Chapelle (année 888). Le roi français Enrique IV Bonne El (aussi roi de Navarre) conseille la culture de l'ail, et enthousiaste de de lui, on mangeait un ail le matin, en levant, parce qu'il croyait qu'il était aphrodisiaque et ainsi pensait que sa consommation l'aiderait physiquement dans ses conquêtes affectueuses. Le tenez Giacomo Casanova, avant chaque rencontre affectueuse, on prenait une dent d'ail brut, à à laquelle ses ennemis envieux soupçonnaient étaient dus les évanouissements de damassé, dans les bras de le tient amant (1750). Le botaniste suédois Carlos Linneo, lui met le nom scientifique d'Allium sativum ou cultivé, pour les raisons étymologiques avant signalées, dans son livre "Species Plantarum" (1753). Autres botaniques illustres étudient la plante de l'ail, comme le botaniste autrichien comte Gaspar von Sternberg, fondateur du Musée National de Prague (1780), et il nous explique les différentes classes d'ails qui existent. Pour ne pas faire une liste très extens, nous citerons seulement les espèces plus importantes, qui sont : Allium neapolitanum ou "ail blanc" "oleraceum ou" ail champêtre "" moly ou "ail magique" "roseum ou" ail de jardin "" scorodoprasum ou "ail brun" "ursinum ou" ail ours "" victorialis ou "ail romain" "vinealis ou" ail les vignes "Et des variétés cultivées sont : Gallicum ou "ail blanc et" Ophioscorodon rouge ou "ail serpenteante" Pekinense ou "ail chinois" le botaniste espagnol illustre Alonso Herrera, auteur du livre "Oeuvre d'Agricultura" (1513), et célèbre parce que c'a été le premier qui a découvert le système sexuel des plantes, nous cite les différentes classes d'ails qui existent. On savait déjà que les ails sauvages, appelés de domaine et des vignes (précédemment cités), ils ont été utilisés jusqu'au siècle XVIII comme légume et pour aromatiser certains ragoûts de viande en France et en Italie. Il a été porté par les Espagnols à l'Amérique, dans le siècle XVII, où il a pris lettre de nature en Californie. On compte que les Indiens, auxquels aimaient beaucoup sa saveur, ont été ses principaux payanux. L'agronome espagnol Buenaventura Aragó, auteur du livre "Culture du Potager", (1873), nous dit comment on cultive l'ail commun et ses vertus, et indique les préparations culinaires plus importantes. Comme curiosité, on sait qu'en Transilvania on frottait les verrous des portes et les fenêtres avec ail, pour maintenir loin ce qui est vampiros et les sataniques êtres d'ultratombe. Selon une histoire de l'ancien Islam, (siècle XII), on dit qu'en Arabie, par où le Démon avait foulé, après avoir été fait apparaître par Dieu des Cieux, ont crû des ails par toutes parties. Mais Aile a voulu que ce produit était celui que maintiendrait loin des personnes al ange tombé. Encore de nos jours nous comptent ceci les Turcs, et le lui ils se croient comme vrai. On compte aussi que le roi Alfonso XI de Castille, a fondé un ordre de chevaliers l'année 1330 qui avait pour but seulement de montrer sa haine à l'ail. Cet ordre n'a pas été maintenu parce qu'on a démontré que, malgré son mauvais parfum (il sentait à démon), il était bénéfique pour combattre beaucoup de maux, y compris la peste. Depuis le Mexique jusqu'aux Philippines il est donné de manger ail aux coqs de lutte pour rendre leur davantage de forts et combatifs. Dans la localité de Gilroy (Californie) a lieu chaque année, le "Festival de l'Ail", occasion dans laquelle des cuisiniers ventilateurs font leurs meilleures préscriptions devant les visiteurs entusiasmados. Là on cultive tant l'ail qu'on dit que pour assaisonner un bistec, il faut seulement l'accrocher de la corde de de tendre du vêtement. Les soldats américains combattants dans la seconde Guerre Mondiale ont utilisé avec profusion l'ail comme cicatrizante, en le luile frottant énergiquement dans les blessures reçues. On savait qu'il agissait comme un puissant bactéricide, ce qui compliquait la pollution de de celles-là. À propos de la milice, est connu le fait très habituel au début de siècle dans notre pays, que le soldat qui voulait être libéré d'une garde, était introduit une dent d'ail pelé, il lui donnait fièvre, et passait à l'infirmerie à dormir et manger calmement. Les noms qu'il reçoit à l'ail dans les différents pays sont : ALHO ail dans portugais AGLIO "dans italien AÏU" dans roumain AIL "en français GARLIC" en Anglais HUIDLOG "en Danois KNOBLAUCH" en allemand CESNEK "en Tchèque CHESNOK" dans russe CZOSNEK "dans polonais SARMISAK" en Turc SKORDO "en Grec THUM" dans arabe NINNIKU "en Japonais DASUAN" dans chinois la traduction littérale libre de de ce qui est chinois est, ail sauvage (SUAN) de taille très grande (DA), parce qu'il est ainsi celui cultivé. L'ail en Chine est connu depuis très longtemps. Est citée sa culture et utilisations dans le livre "Calendrier des Hsia", document 2000 années avant le Christ. Comme compte la légende, une fois que l'empereur jaune Hoangti, changeait d'échelle une montagne, un de de ses courtois a mangé par erreur une plante toxique. Il a été sauvé par l'empereur, qui était médical aussi, en lui faisant manger ail sauvage ("ils suan"). L'ail cultivé contient une huile volatile, appelée "alicín", responsable de son parfum intense. Les ails les plus caustiques ou les forts sont les chinos, avec un contenu de de 1.35% de d'alicín, et de ceux plus lisses, les ails arabes, avec 0.08% de cette huile volatile. L'ail contient en outre glicósidos, albumine, vitamines et quelque chose de soufre. Ce dernier est le responsable son effet nettoyeur ou d'épurateur antimicrobien. Les ails sont cultivés dans toute l'Espagne, mais jouissent de juste renommée ceux de "Pedroñeras" et ceux de la madrilène population de "Chinchón". En Navarre a de la renommée les ails Falces et de Corella, qui sont vendus précisément dans les festivités de San Fermín dans la place connue des ails, pour ce motif. En Catalogne ceux de la zone de Banyoles (Gerona).

Anónimo dijo...

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